mercredi 9 juillet 2014

La presse en parle

Rencontre avec Canal Pourpre lors d'une des sessions de travail du juin.
Le lien vers l'émission ici

Ici au journal télévisé de France 3 Périgord à 5 minutes 11 secondes.

un article dans le Sud Ouest.


vendredi 23 mai 2014

Qu'on se le dise!

Avis à la population!
Avis à la population!





à propager autour de vous...
sans modération et qu'on se le dise! 



vendredi 16 mai 2014

Les sentier bucoliques de Natacha

Natacha nous a reçu à Ribérac dans l'un des studios de Radio Liberté (96.1 MHZ) pour procéder à l'enregistrement de son émission hebdomadaire Les Sentiers Bucoliques.



Nous sommes finalement tous rentrés. Ce n'était pas gagné.
En effet, nous étions venus nonbreux.
Jean-Louis de Miras était là, pour représenter Zap'Art et représenter l'hôpital.
Stéphane Balistreri, metteur en scène de Galop de Buffles, Joseph Balaguer, comédien, et Jean-David Cohen, administrateur étaient là pour parler de la compagnie.



Et Rob Aarts était là. Rob a fabriqué un orgue de barbarie. Il crée lui-même ses cartons d'après les arrangements qu'il écrit.
Nous lui avons demandé, pour le projet, de cartonner quelques morceaux de musique.
Il a souhaité pour notre plus grand plaisir venir en jouer 3 en direct pendant l'émission.



Il y a Yah-de-Dah, un protojazz à la mode dans les années 1917-1918 qu'il jouer en deuxième.
Il y a la Pavane de Gabriel Fauré qui vient clôturer l'émission.
Il y a la terrible et belle Chanson de Craonne qu'il chante en premier.
Voir au fur et à mesure du texte sortir et se replier le carton comme si des mots prononcés naissait le livre, la trace. Il y a là dedans quelque chose de profondément émouvant qui vient se rajouter à l'émotion gigantesque que procurent la chanson et son contexte.
Merci Rob.

Pour écouter l'émission c'est ici :


Les sentiers bucoliques semaine 20 : Natacha recoit Galop de Buffles


Un grand merci à Natacha de nous avoir reçu.
Un grand merci à Aurore qui était à la technique de l'émission et à son enregistrement.
Un grand merci à Claude, Adeline et Hiroshi de la Cie Rouletabille pour "les bons tuyaux".
Un grand merci à Joseph pour les photos.



 

mercredi 9 avril 2014

Scènes de poilus dans les tranchées

Samedi 5 et dimanche 6 avril s'est déroulée la dernière session de tournage. Au programme, des moments de tranchées, des sorties dans le no man's land et une attaque des gaz.


Marie-Jacque et Fanny ont endossé samedi 5 avril, le costumes des infirmières de la Croix-Rouge.
Les poilus sont allés prendre leur place dans la tranchée.

Le temps magnifique a rendu les conditions de tournage particulièrement plaisante bien qu'en capote, nos poilus ont eu chaud!


Inspection des alentours.


Le vent n'a pas été toujours notre allié. Le système de fumerolles mis en place s'est parfois montré insuffisant quand le vent dispersait les fumées que nous avions réussi à générer.
D'autres feux ont été allumés pour pallier cette dispersion.

Exercice de tirs.


Mathieu, Pierre, Anthony et William du RC Mussidan entre deux prises.


On prend ses marques... les fous rires sont libérateurs tant que ça ne tourne pas... 


Merci encore pour leur participation et leur patience à :

Fanny
Marie-Jacque
Anthony
Mathieu
Pierre
et un grand merci à Carole et Sébastien (pour leur remplacement au pied levé) et à William pour son implication et son intérêt.

Pour finir, une tentative de vieillir deux photos précédentes afin de donner l'illusion de photos d'époque.






vendredi 21 mars 2014

Le no man's land

Reconstitution aux abords de la tranchée d'un no man's land, dédale de barbelés.


Nous avons creusé des trous dans lesquels nous avons placer des boîtes de conserves. Nous avons rempli les boîtes de paille, d'herbe sèche et de déchets végétaux.
Nous avons enflammé le contenu de la boîte.



Nous sommes parés pour le tournage dimanche des premières scènes de tranchées. Il manque encore quelques sacs à teindre et remplir de terre afin de les empiler pour achever l'ouvrage.


mardi 18 mars 2014

1er week end de répétition collective


photo : une partie du groupe à peu près à l'emplacement où sera la scène.

Samedi 15 et dimanche 16 mars ont eu lieu les premières répétitions collectives avec les comédiens professionnels et les comédiens amateurs. Ce fut la première fois que se rencontrait l'ensemble de l'équipe à l'exception des quelques absents.
Nous sommes heureux de constater que le groupe s'est mis à exister, c'est-à-dire que délaissant les formules sur le papier, de vrais individus sont venus s'incarner dans des personnages jusqu'à présent théoriques et chacun s'est impliqué dans le collectif.
Les journées fut longues et difficiles ; certains ont été extrêmement sollicités, à refaire et refaire les scènes quand d'autres ont beaucoup attendu. Coordonner tous les impératifs, répartir l'ensemble des comédiens par scène à construire, prendre connaissance du texte et des situations en anglais, n'étaient pas une mince affaire.
Pam, l'une de nos trois coachs en anglais, prodiguait tous les conseils nécessaires à correctement prononcer le texte, parfois en même temps que s'ébauchaient les scènes.
Les repas que nous avons partagés ont permis de se lier davantage.
Pour la plupart il a fallu découvrir non seulement le personnage à incarner mais la globalité du texte dans ce que l'écrit théâtral a de rugueux.

Alors pour tous ces moments partagés, un grand merci.

Un grand merci à :

Pam A.
Delphine B.
Christine C.
Lucienne C.
Isabelle C.
Brigitte C.
Dominique C.
Catherine K.
Danièle L.
Emilie L.
Michèle P.
Corinne R.
Pascaline S.

et un grand merci à :

Joseph B.
Stéphane B.
Yves C.
Jean-David C.
Hervé D.
Jean-Cyril D.
Stéphane G.
Gérard L.
Frédéric L.
Jean-Baptiste L.
Jean-Pierre M.
Laurent P.
Laurent P.








mercredi 12 mars 2014

La tranchée

Les jardiniers de l'Hôpital Vauclaire ont creusé avec des engins une tranchée. Il ne restait qu'à lui donner vie. Nous avons réaliser les pré-trous à la barre à mine, avons taillé les piquets, lesquels en place retenaient les planches horizontales qui devaient contenir la terre.
Un effondrement en fin de matinée du tiers de notre ouvrage nous a appris à renforcer les piquets par des jambages. 
Bref, la journée sous un temps radieux fut employée à ces travaux de peine. Une façon de mieux comprendre (les courbatures sont là pour pour qu'on s'en souviennent) la dureté de cette guerre. 



Nous n'avons pas terminé mais la tranchée sera prête pour les prochaines scènes à tourner les 22 et 23 mars 2014.




  


lundi 10 février 2014

Weekend de tournage à la ferme du Parcot





La ferme du Parcot nous a accueilli les 8 et 9 février pour notre première session de tournage.
Nous y avons filmé les plans relatifs à la scène de la permission qui voit deux poilus de la même famille rentrer à la ferme familiale pour y partager un moment d'émotion.
Une autre scène montre une des femmes (Louise) qui vient d'apprendre la mort des deux soldats. Elle doit annoncer la nouvelle au plus jeune frère plongé dans ses jeux.

Nos comédiens amateurs ont livré une émotion juste et vibrante.





Merci à Brigitte (qui interprète Louise), Isabelle (Germaine), Etienne (Pierre), Mateo (Lucien), Corentin (Gaston), Joris (Edmond), Stéphane (Maurice), Martine (la grand-mère), Anthony (le grand-père) et Ernest le chien dans votre propre rôle. 

Merci à eux pour l'émotion qu'ils sont allés chercher, pour leur patience (ils ont ainsi mesuré combien cela est fait d'attente, et de redite...), pour le courage d'avoir su affronter l'épouvantable samedi, l'humidité, la boue, le froid et être revenus heureux et motivés le lendemain.

Désolé pour Joris qui déjà malade le samedi n'était pas en état de nous rejoindre dimanche.


Merci à José-Luis pour les prises de vue, les cadres, les idées, la disponibilité.

Merci à Danièle pour l'indispensable repas qui a nous a unis et réunis.

Merci aux courageux spectateurs qui sont venus soutenir les comédiens dimanche. 

Nous tournerons les quelques plans manquants le dimanche 9 mars si la disponibilité des comédiens est confirmée.

Merci donc à Maud et à toute l'équipe de l'association La Double en Périgord.


jeudi 30 janvier 2014

Les dates de tournage et les dates des stages

La première séance de tournage se tiendra les 8 et 9 février 2014, toute la journée, à la ferme du Parcot. L'association La Double en Périgord nous ouvre effectivement le lieu afin que nous y tournions la scène de la permission. Deux poilus, Maurice et Edmond, oncle et neveu, retourne à la ferme familiale pour une brève visite.
Les dernières retouches pour les costumes se hâtent, l'incertitude quant à la météo laisse peu de planification possible.  
Le lieu est une ferme typique de la Double conservée en l'état. 
Il va s'agir pour les 9 comédiens amateurs de leur première expérience. 

Les autres sessions de tournage seront consacrées à de brèves scènes du front. Là encore, grâce au partenariat avec ZAP'ART et bénéficiant du soutien de la direction du C.H.S. Vauclaire, ces extérieurs seront tournés dans l'enceinte de l'hôpital. Une tranchée a carrément été creusée au tracto-pelle. 
Il ne reste plus qu'a l'habiller de planches et de sacs. 
Des barbelés figureront plus loin le no man's land.
Le tournage se fera les 8 et 9 mars, puis les 22 et 23 mars et les 5 et 6 avril. 
Cela devrait laisser du temps ensuite à José-Luis qui va filmer, pour d'éventuels raccords et pour réaliser le montage. 

En ce qui concerne les stages théâtre à l'adresse des amateurs qui seront sur le plateau pour les représentations théâtrales des 4, 5 et 6 juillet 2014, rendez-vous est donné : 
  • les 15 et 16 mars 2014 de 10 h à 18 h
  • les 3 et 4 mai 2014 de 10 h à 18 h
  • les 24 et 25 mai 2014 de 10 h à 18 h 
  • les 14 et 15 juin 2014 de 10 h à 18 h 
Ensuite, dernière ligne droite avec la résidence qui va réunir les comédiens, la vidéo, la chorale, l'orgue de barbarie et tout les aspects techniques. Elle va débuter le vendredi 27 juin par le montage de la scène et des éclairages. Début des répétitions et des filages le samedi 28 juin. à partir du lundi 30 et jusqu'au jeudi 3 juillet, ces moments se feront en soirée afin de ne pas entraver le fonctionnement ordinaire de l'institution et afin de bénéficier également des conditions d'éclairage.